Message de Thierry

Voici un message, très intéressant, que j’ai reçu le 9 décembre de Thierry.

"Bonjour Jean-Claude,

Félicitation pour ton blog que je viens de découvrir,
(je me permet de te tutoyer avec 7 ans de plus que toi ;-)

Je suis aussi l'heureux possesseur d'un Scénic 2 Emotion 105 DCI Eco2 (sans FAP, avec roue de secours) livré en Février 2009.
Je pense avoir le même modèle que le tiens (au vue des photos)

Aucun problème jusqu'à présent avec environ 12000 km.

Je n'ai pas encore parcouru complètement ton blog, mais j'étais à la
recherche des équipements précis de ce modèle :
Lorsque j'avais 1 heure à perdre, j'ai lu la notice complètement, mais on y
voit des variantes et je ne sais même pas si elles sont dans notre modèle :
- Surveillance de la pression des pneus ?
- Contrôle dynamique de conduite ESP ?
- Système anti patinage ASR ?
- Système antiblocage ABS ?
- Allumage auto des feux de détresse ?
- Pare-brise à couche réfléchissante ?

Le problème c'est que j'ai du le lire avant l'achat, mais je ne retrouve
plus ces infos sur le web !


Dans ton blog, je ne vois pas de rubrique "Points faibles" !
J'y aurais ajouté,
Fond de coffre : Je range mes courses chaque semaine dans 4 caisses + eaux (famille de 5 personnes), et j'ai constaté que la fixation de la plaque de coffre s'affaissait. J'ai pu le renforcer avec des tasseaux de bois, mais il y a eu une réduction de qualité, car celui de ma Scénic 1 a tenu 10 ans sans bouger !

Lève-vitre avant droite : lorsque le moteur est coupé et que l'on a oublié
de fermer la vitre, il n'est pas possible de la fermer ! On est obligé de
redémarrer ! Ça ne va pas dans le sens de l'économie ni de l'écologie.
Renault m'a expliqué que c'était parce que dans ce modèle "basique" on n’avait pas le lève-vitre passager à impulsion.

Progressivité du moteur Diesel : rien à dire sur route ou autoroute, par
contre en ville, avec démarrage et accélération, je trouve que le moteur
n'est pas progressif, et je me suis déjà fait des frayeurs, où la voiture
n'accélère pas. Renault m'a également expliqué qu'il y avait plein
d'asservissements, mise en route du Turbo, limitation à froid, régime moteur,etc... Je pense que c'est une question d'habitude au diesel (et cela va mieux maintenant), par contre c'est surprenant (et un peu dangereux)
lorsque l'on vient d'une essence où la puissance est directement
proportionnelle à la position de l'accélérateur.

Autonomie lorsque l'on est sur la réserve : l'afficheur n'indique plus la
distance estimée !
C'est dommage lorsqu'il reste plus de 120 km, et lorsque l'on est plus des
gamins.

En Gag: le limiteur de vitesse ne propose pas 104 km/h (si je me rappelle
bien), mais passe de 102 à 106 :-))


Sincères salutations et bonne continuation du blog.

Thierry."


Alors déjà, merci de t’intéresser à mon blog et c’est agréable aussi d’avoir ton avis sur certains points du Renault Scénic.

En ce qui concerne les équipements que tu cites au début de ton mail, à mon avis le seul qui fasse parti de la finition émotion est le système antiblocage ABS, pour l’allumage auto des feux de détresse et le pare-brise à couche réfléchissante, il faut que j’étudie le truc.

Pour ce qui est des points faibles, je suis tout à fait d’accord avec toi en ce qui concerne le problème de la vitre passager, c’est vraiment la misère si on oublie de la fermer avant d’arrêter le moteur.
Pour ce qui est du fond de coffre, je n’ai rien remarqué de spécial, à voir avec le temps.
Par contre en ce qui concerne tes remarques sur le moteur, je suis très surpris, je le trouve bien au contraire très souple et vraiment agréable à bas régime, donc en ville.
Je pense que cela vient de ton style de conduite, tu dois "apprendre" à rouler diesel, c'est-à-dire en pensant couple plutôt que puissance.

Pour tout ce qui est du reste, je vais y faire attention et je te tiendrai au courant dans un futur article.

Merci encore de ta participation.

Ça fait toujours autant plaisir.

Voici le copier/coller d’un petit message que j’ai reçu le 04 octobre et qui m’a fait extrêmement plaisir.

"Bonjour Jean-Claude,

C'est avec plaisir que j'ai regardé tous les renseignements indiqués sur votre site relatif à votre véhicule SCENIC RENAULT. Il est vraiment plus renseigné et vivant que ce que peut nous indiquer un vendeur de la marque. Bravo pour votre site car vous devez y passer du temps. J'y ai trouvé beaucoup de renseignements pratiques. J'ai aussi un SCENIC DCI 105 EMOTION depuis le mois de juin et j'en suis satisfait.
Merci pour votre enthousiasme.
Cordialement,
Georges."

Je vous remercie Georges et j’espère que vous continuerez à être satisfait de votre Scénic, autant que je le suis moi-même.
Pour info, j’en suis, en gros, à 9 300 km au compteur et toujours aucun problème à signaler.

Précision du compteur.

Je me suis pas mal servi de mon GPS pendant les vacances et j’en ai donc profité pour vérifier l’exactitude du compteur de vitesse de mon scénic.

Il en ressort que les vitesses affichées par le tableau de bord sont relativement fiables puisque de 50 à 90 km/h il n’y a que 3 km/h d’écart par rapport au GPS et que l’écart n’est que de 4 km/h dans la fourchette de vitesse comprise entre 100 et 120 km/h.
A partir de 120 et jusqu’à 150 km/h la différence est de 5 km/h, ce qui me permet sur autoroute, de rouler tranquillement avec le régulateur calé sur 134 km/h (la vitesse du régulateur se règle de deux en deux).

Je pars, bien entendu, du principe que les indications de vitesse fournies par mon GPS, modèle 2100 Max de la marque NAVIGON® avec une cartographie ViaMichelin, sont exactes, car ça, je ne peux pas les vérifier.

Pour infos, le sigle GPS est l’abréviation de "Global Positioning System" que l'on peut traduire en français par "système de positionnement mondial" ou bien en respectant les trois lettres du sigle par "Géo-Positionnement par Satellite".

Ça fait plaisir.

J’ai reçu, le 12 septembre, un petit mail qui m’a fait bien plaisir.
Ce sont de petit message comme ceux-ci qui me conforte dans l’idée de poursuivre mon blog.

En voici un copier/coller.

"Bonsoir,

Hier vendredi 11 septembre j'ai passé commande d'un grand Scenic II 1.5dci 105 émotion.
Occasion récente 06/2009 de 4300Km.
J' en n'ai appris plus sur le model émotion sur votre blog que chez renault eu même.
Je touche mon Scenic dans une quinzaine, et après la lecture de vos textes j'en suis impatient.
Je connais déjà bon nombre des ses options et autre gadget comme vous les appelez. Car je roulai en megane II estate authentique même niveau de finition.

Je remercie le passionné de Scenic que vous êtes, et bravo d'avoir réalisé ce blog et j'ai pris un réel plaisir à vous lire.

Christophe."

Je vous remercie, Christophe, pour ce petit message et j’espère que vous continuerez à faire de petites visites sur mon blog.

Le régulateur de vitesse (suite).

Pour compléter mon article "Le régulateur de vitesse." voici encore quelques détails sur son utilisation.

La commande pour le mettre en service est positionnée sous le commodo gauche.
Par une rotation dans un sens ou dans l’autre, on sélectionne soit le limiteur, soit le régulateur.


Les réglages se font ensuite à l’aide des deux boutons basculants situés de chaque côté du moyeu du volant.
Celui de gauche (+/-) sert au réglage de la vitesse désirée, celui de droite à désactiver momentanément le régulateur (0) ou à rappeler la dernière vitesse mémorisée (R).


Au tableau de bord un voyant indique si le limiteur ou le régulateur sont activés et la vitesse sélectionnée s’inscrit sur l’afficheur de l’ordinateur de bord.

Ce qui est un peu surprenant lorsqu’on active le régulateur, c’est que la voiture accélère à fond jusqu’à obtenir la vitesse sélectionnée, cela pourrait se passer un peu plus en douceur à mon gout.

Il est à noter aussi que toute action sur l’une des trois pédales désactive automatiquement le régulateur.

C’est donc un équipement très utile pour respecter les limitations de vitesse, mais je le répète, à utiliser avec une grande prudence car ça change les habitudes de conduite.

De plus en plus de visiteurs.

Voilà, le cap des 2 500 visiteurs est franchi.

C’est un réel plaisir pour moi de constater que ce blog vous intéresse et qu’il attire du monde.

Cela me conforte à continuer d’écrire de nouveaux articles, dont les sujets je l’espère, vous conviendront toujours.

N’hésitez surtout pas à me faire part de vos remarques, afin que je puisse continuer à développer et améliorer mon blog.

Pour la petite histoire, le record de visites simultanées a été battu fin juin, il est maintenant de 20 visiteurs.

Sondage.

Je viens de faire ma "B.A." (il faut bien de temps en temps …) en renvoyant le sondage, commandité par Renault, que j’ai reçu de la société TNS Sofres Automobile.

Cette enquête, réalisée auprès de la clientèle dans l’ensemble de l’Europe, a pour but de contacter les acheteurs récents d’une nouvelle voiture, afin de mieux cerner les raisons qui les ont poussé à acheter une Renault et ainsi permettre au constructeur d’améliorer ses voitures ainsi que les services proposés par ses concessionnaires.

J’ai trouvé le sondage assez bien fait, avec des questions réalistes et bien représentatives de l’usage courant d’une voiture.

Je peux dire que j’y ai répondu avec un certain plaisir.

Le régulateur de vitesse.

J’ai donc testé l’utilisation du régulateur sur les longs trajets d’autoroute que j’ai fait pendant les vacances et il en ressort que mon avis, sur cette fonction, est plutôt mitigé.
Je dirais que c’est à utiliser avec prudence et en restant extrêmement vigilant car les "choses" de la route (péages, ralentissements, entrées des aires de repos …) se rapprochent plus rapidement qu’en conduite classique.

Je m’explique.
Lorsque l’on roule sans le régulateur, en voyant les "choses" au loin, on relâche l’accélérateur et la voiture ralentit déjà un peu d’elle-même.
Avec le régulateur, c’est différent, il faut le désactiver ou commencer à freiner pour qu’il se passe quelque chose et sans le vouloir, on laisse les "choses" se rapprocher de nous plus rapidement qu’on l’aurait voulu.
J’ai très nettement ressenti cette sensation aux approches des péages par exemple.

Autrement, c’est vraiment agréable de pouvoir maintenir une vitesse stable, sans avoir en permanence le pied sur l’accélérateur, c’est reposant pour le corps mais surtout pour l’esprit car une fois le régulateur calé sur la bonne vitesse, en l’occurrence 134 km/h, on risque moins de se faire "flashouiller".



Donc je dirais que le régulateur est appréciable sur long trajet, mais il faut l’utiliser que si la circulation est fluide en pensant bien à rester le conducteur de la voiture et non se laisser rouler par celle-ci.

En ce que concerne le limiteur, je n’en vois l’utilité que dans les grandes villes afin de respecter le 50 km/h, mais attention à la sortie de l’agglomération, lorsqu’on veut reprendre de la vitesse, ça fait tout drôle si on oublie de le désactiver.

Pleine puissance.

Voilà, le cap des 6 000 kilomètres a été franchi pendant les vacances.



C’est, d’après les informations fournies par la notice d’utilisation de la voiture, à partir de ce kilométrage que le moteur atteint son meilleur rendement et délivre sa pleine puissance.

Je ne vous cache pas que je n'ai rien remarqué, mais bon, ces 6 000 kilomètres se sont très bien passés et aucune anomalie ni bruit parasite ne sont venus troubler l’utilisation de la voiture.

Je touche un peu de bois au passage (ça ne peut pas faire de mal) et j’espère que tout continuera ainsi.

A ce jour, mon Scénic a, en gros, 7 200 km.

Fin des vacances.

Voilà, les vacances sont finies, je suis de retour et je relance mon blog.

Nous avons parcourus, en gros, 2 900 km pendant ces quinze jours et tout s’est très bien passé.
Mon fils a pu tranquillement prendre en main la voiture et commencer à rouler pour sa conduite accompagnée et moi m’habituer à mon rôle de "copilote".

Toute la petite famille a vraiment apprécié le Scénic et tout particulièrement son silence de fonctionnement, son confort et l’espace de l’habitacle.
Le coffre, très pratique à charger et bien logeable, nous a permis d’emmener (et de ramener, c’est préférable) tout ce qu’il nous fallait pour passer de bonnes vacances.
Tout le monde a pu aussi profiter au mieux de tous les tiroirs et coffres de rangement pour s’aménager chacun un petit coin à soi.

Le couple, formé par le petit 1.5 dCi de 105ch et la boîte de vitesse à 6 rapports, s’est montré à la hauteur dans toutes les conditions de circulation.
Que ce soit, par exemple, lorsqu’il faut de la puissance lors de sollicitations en montée sur autoroute ou lorsqu’il faut de la souplesse dans les bouchons (les joies d’un départ le 1er août…) le moteur réagit toujours au mieux.
Pouvoir laisser avancer tranquillement la voiture à 7 km/h en première, au régime de ralenti du moteur, sans être en permanence obligé de toucher à l’embrayage, est un vrai plaisir lorsqu’on est pris dans des ralentissements.

Au niveau consommation, j’ai été agréablement surpris en faisant une moyenne de 5,6 l /100 sur autoroute et en tournant à 4,8 l/100 en promenant sur les petites routes du bocage normand.


Ces nombreux trajets ont été aussi l’occasion de tester l’usage du régulateur, de vérifier l’exactitude du compteur de vitesse grâce aux données fournies par le GPS, de recueillir de nouvelles données pour mon tableau "rapport de vitesse - régime moteur - km/h" et bien d’autres choses que je développerai dans de futurs articles.

En vacances.

Voilà, l’heure des vacances est arrivée, la voiture est chargée à ras bord et tout le monde est prêt pour partir une semaine en Basse Normandie suivie d’une semaine en Pays de la Loire.

Je vais profiter des grands trajets qui nous attendent (le GPS nous indique 831 km pour nous rendre sur notre premier lieu de vacances) et du temps assez important que nous passerons à bord de la voiture, pendant les quinze jours qui viennent, pour peaufiner certains futurs articles et continuer à récolter des informations sur mon Scénic afin de vous faire partager tout cela à mon retour.

Je mets donc mon blog en vacances, car lui aussi y a droit...

Je vous souhaite de bonnes vacances, à plus tard.

Ma pauvre "Titine" !!!

Voici le temps des odeurs d’embrayage brûlé dues aux patinages excessifs des départs en côte et des calages au démarrage arrivés pour ma voiture.
Il va falloir s’habituer aux grincements des pignons de la boîte lors de mauvais passages de vitesses ou aux terribles montées en régime d’un "rétrogradage" un peu loupé.

Et oui, le temps de la conduite accompagnée est arrivé !!!


Mais non, je rigole !!!
Ca va être super de partager le plaisir de conduire avec mon fils et après les 20 heures de leçon de conduite, obligatoires avant de pouvoir faire la conduite accompagnée, il sait déjà très bien se débrouiller.

Je trouve le principe de l'AAC (Apprentissage Anticipé de la Conduite)vraiment bien car à mon époque on passait le permis avec même pas 20 heures de conduite et ensuite on était lâché seul dans la circulation, c’était parfois un peu chaud, alors que là, ça permet de se perfectionner et d’acquérir, tranquillement, une certaine confiance en soi.

Par la même occasion cela permet à l’accompagnateur, moi en l’occurrence, de se rendre compte des petites erreurs qu’il fait ou des mauvaises habitudes qu’il a pris et de réviser son code de la route.

C’est bénéfique pour tout le monde, même pour la voiture, car on va sûrement faire des records de consommation en roulant aux limitations de vitesse de la conduite accompagnée qui sont, pour infos, les mêmes que celles par temps de pluie, c'est-à-dire, 50 km/h en agglomération, 80 km/h sur route, 100 km/h sur route à deux chaussées séparées par un terre-plein central et 110 km/h sur autoroute.

Vue de dessous, troisième.

Cet article a pour but de montrer un peu ce qu’on peut voir au niveau des roues lorsqu’on est sous la voiture.

La photo est prise du côté arrière de la roue avant gauche.
On distingue très bien le disque de frein ventilé de 300 mm de diamètre et d'une épaisseur de 24 mm, le cardan et la rotule de la biellette de direction ainsi que celle du bras inférieur de suspension. Au centre de la photo, le capteur visible est celui du système d’ABS.

Pour la petite histoire, les lettres ABS, qui sont devenues une marque déposée par Bosch en 1978, viennent du mot allemand "Antiblockiersystem", qui a été traduit en anglais par "Anti-lock Break System" et qui donne en français "Système de freinage antiblocage".
Les autres équipementiers et constructeurs utilisent donc le terme ABV qui signifie "Automatischer Blockierverhinderer" ou ABR pour "Antiblocage des roues".




Une vue avec un peu plus de recul, permet de bien voir le bras inférieur de suspension fixé sur le berceau.
En arrière plan, l’étrier de frein est maintenant bien visible.




Cette photo, prise du côté arrière droit, montre bien toute la suspension avec au centre le ressort hélicoïdal avec sa butée (la pièce verte), sur le côté l’amortisseur monté en position inclinée et une partie de l’étrier de frein.
Le disque plein de 270 mm de diamètre et de 10 mm d'épaisseur n'est pas visible sur la photo.
Le petit levier sur lequel est fixé le câble sert à actionner le mécanisme de serrage des plaquettes sur le disque, lorsqu’on sert le frein à main.

Messages de l’ordinateur de bord.

Voici la liste des messages écrits que peut afficher l’ordinateur de bord en cas de pannes ou d’anomalies de certains équipements ou tout simplement pour informer le conducteur.
Certains de ces messages peuvent être accompagnés, en fonction de leur importance et de la gravité du problème, par le voyant "STOP" ou "SERVICE" ainsi que d’un signal sonore.


Les messages d’alerte :

Ils apparaissent avec le témoin "STOP" et sont accompagnés d’un voyant et d’un "bip" sonore.
- Défaillance électronique
- Défaut charge batterie
- Direction défaillante
- Injection défaillante
- Freinage défaillant
- Pression huile défaillante
- Surchauffe du moteur


Les messages d’anomalie de fonctionnement :

Ils apparaissent avec le témoin "SERVICE" et peuvent être accompagnés d’un voyant et/ou d’un "bip" sonore.
- Anti démarrage défaillant
- Carte non détectée (bip sonore)
- Défaillance électronique
- Direction à contrôler
- Direction non débloquée
- Direction non verrouillée
- Filtre à gazole à contrôler
- Injection à contrôler
- Limiteur de vitesse hors service
- Lecteur de carte hors service
- Niveau d’huile à réajuster
- Régulateur de vitesse hors service


Les messages d’information :

- Appuyer sur frein + Start
- Arrêt moteur à confirmer / Appuyer deux fois sur stop (alternatif)
- Coffre ouvert
- Débrayer + Start / Appuyer sur frein + Start (alternatif)
- En mémoire ---- km (ou miles)
- Insérer la carte
- Limiteur
- Mode carte restreint
- Niveau d’huile correct
- Pas de message mémorisé
- Pile carte à changer
- Porte ouverte
- Régulateur
- Retirer la carte

Vue de dessous, deuxième.

Voici à quoi ressemble le catalyseur dont j’évoquais la présence dans mon article consacré au turbocompresseur "Le turbocompresseur.".
La ligne d’échappement est ensuite directe jusqu’au silencieux, qui est positionné du coté gauche. La sortie d’échappement, masquée par le pare-choc, se retrouve décalée vers le milieu de la voiture.
On aperçoit aussi, en bas de la photo, une partie du palier (l’anneau bleu) et un morceau de l'arbre du cardan droit.




En se retournant, on voit la crémaillère de direction fixée à l’arrière du berceau.
Tout le système d’assistance de la direction (moteur électrique, calculateur …) se situe dans l’habitacle, directement sur la colonne de direction, dans le prolongement du joint de tablier (le cache en plastique blanc visible sur la photo).

A l’avant droit se trouve le compresseur du circuit de climatisation, directement fixé au moteur et entrainé par la même courroie que l’alternateur.

L’échangeur de température (huile/eau) permettant le refroidissement de l’huile moteur est visible au dessus du compresseur (l’empilage de plaques).

En ce qui concerne la partie arrière de la voiture, au niveau du train arrière, elle est entièrement occupée par le réservoir à carburant.
Il a une capacité utile de 60 litres et est identique quelque soit le type de motorisation.

Toutes les photos sont cliquables et en hautes résolutions afin de bien voir les détails.

Vous avez dit "eco²" …

Que signifie la désignation "eco²" ?
C’est la question que je me pose depuis que j’ai mon Scénic et que je vois un autocollant, avec l’inscription "Renault eco²", orner la vitre arrière de celui-ci.

En fait, le sigle "Renault eco²" est tout simplement un label, que s’est auto-décerné Renault, afin de présenter publiquement, en mai 2007, son engagement vers des offres de véhicules écologiques et économiques.

Pour pouvoir bénéficier de ce label, un véhicule Renault eco² doit satisfaire simultanément à trois critères :

1. Des usines certifiées.

La fabrication du véhicule (carrosserie et montage) doit s’effectuer dans un site de production respectueux de l’environnement répondant à la certification de la norme ISO 14 001.
Cette norme récompense les progrès engagés par un site industriel pour réduire la consommation d’eau et d’énergie, la production de déchets ainsi que les émissions atmosphériques et sonores.
Pour information, en 2006, il n’y avait que 39 sites certifiés ISO 14 001 dans le monde.

2. Moins d'émissions de CO2.

Le véhicule doit rejeter moins de 140 g/km de CO2 en cycle mixte ou fonctionner aux biocarburants.
Moins de 140 grammes de CO2 équivaut à une consommation de moins de 5,3 l/100 km pour une motorisation diesel et de 5,9 l/100 Km pour une motorisation essence.

3. Des véhicules recyclables.

Le véhicule se doit d’intégrer plus de 5 % de matières plastiques issues du recyclage et être conçu pour que 95 % de sa masse soit valorisable en fin de vie.
Selon les modèles de voitures, le pourcentage de plastiques recyclés peut varier entre 5 et 17 %, soit entre 5 et 37 kg par véhicule.

A la recherche des bruits.

Suite à la question de Vincent, dans son commentaire du 16 juin " Vos visites. ", je me suis mis à écouter les bruits que pouvait émettre mon Scénic.
Pour cela j’ai fait quelques trajets sans mettre trop fort la radio (pas facile de l’arrêter complètement lorsque c’est le moment des "grosses têtes" sur RTL ...) et voilà le résultat.

Je dirais que, pour l’instant (je touche du bois), je n’ai pas constaté de bruits suspects mais seulement les sons plus ou moins classiques d’une voiture en mouvement.
Je m’explique.

Aux alentours de 100 km/h des bruits aérodynamiques commencent à se faire entendre, mais ils restent assez feutrés et ne s’amplifient guère avec l’accroissement de la vitesse, je n’ai testé que jusqu’à 150 km/h.
Cela produit un peu le même son que si on roulait avec une fenêtre très légèrement ouverte.
Du côté chauffeur le bruit est perceptible par l’oreille gauche et on l’entend avec l’oreille droite du côté passager.

Le second bruit que l’on entend, d’autant plus si l’on roule fenêtres ouvertes, c’est le sifflement caractéristique des moteurs turbocompressés.
Il se produit très clairement, lors d’accélérations franches sur les rapports inférieures (2ème /3ème) et lors de décélérations à basse vitesse, mais je pense que cela reste dans la norme vu que le véhicule roule très bien et que la puissance est présente.
Autrement, l’insonorisation du moteur est très bien réalisée et celui-ci, même à régime assez élevé (3 500 à 4 000 tr/mn), reste très discret.

En ce qui concerne les bruits provenants de la route et des trains roulants, ils sont bien filtrés et il n’y a quasiment aucune remontée dans l’habitacle.

Donc je dirais en conclusion, que le Scénic est une voiture silencieuse avec une insonorisation bien réussie et que la seule ombre au tableau, est la présence de quelques petits bruits d’air provenants certainement de défauts aérodynamiques que je situe au niveau du haut des portières ou du pavillon.

Le turbocompresseur.

Toujours afin d’exploiter les photos que j’ai prises de mon Scénic vu du dessous, voici un petit article consacré au turbocompresseur à géométrie variable (TGV) qui équipe le moteur 1.5 dCi (Direct Common rail Injection) de 105 ch.
Le turbo occupe, avec le catalyseur, directement fixé en bout du carter de la turbine motrice, une bonne partie de l’arrière du moteur.
On découvre "la bête" en remontant la ligne d’échappement.

C’est un modèle à géométrie variable multi-ailettes de marque BorgWarner.

Le cylindre gris, bien visible au milieu de la photo, est le poumon servant à la commande des ailettes mobiles de la turbine à débit variable.
On aperçoit aussi le tuyau du retour d’huile assurant le graissage des paliers de l’axe des turbines.
La droite de la photo est occupée par une partie du catalyseur.



Ce petit schéma montre le principe de fonctionnement d’un turbocompresseur, d’ancienne génération, avec échangeur air-air (intercooler).
La soupape de régulation de pression appelée : waste-gate a disparue des turbos à géométrie variable car le mouvement des pales de la turbine contrôle en même temps la vitesse de la turbine et la surpression.

Le turbo en quelques chiffres, c’est impressionnant.

- Il fonctionne à des vitesses de rotation très élevées (de l’ordre de 180 000 tr/min). Cette vitesse doit être impérativement maîtrisée en fonction des diamètres des turbines car, si la vitesse de l’extrémité des pales de turbine atteint une valeur supersonique le turbo explose.

- Les contraintes thermiques sont énormes dans un turbo. La turbine côté échappement est soumise à une température dépassant les 900 °C alors que celle, côté compresseur, reçoit de l’air à température ambiante, donc aux environs de 20 °C.

- Lors de l’arrêt du moteur, l'huile présente entre l'axe et les paliers des turbines, peut être soumise à des températures pouvant alors s'élever aux environs des 800°C si l’on ne prend pas bien soin à ne pas couper le moteur alors que le turbo est encore en charge.

Des filtres bien cachés.

En poursuivant mon exploration des parties mécaniques de mon Scénic, je me suis mis à la recherche des différents filtres dont il est équipé.

- Le premier que j’ai découvert est le filtre à air. Je l’avais déjà montré sur la deuxième photo de l’article "Sous le capot.".
Il se situe dans l’axe de la batterie, derrière celle-ci et le boitier électronique intégrant le calculateur d’injection.
La pastille bleue, visible sur la photo, est sur le couvercle du boîtier de filtre à air.

- Le filtre à huile, je l’ai trouvé caché au milieu des flexibles de la climatisation et de quelques durits.
Il faut certainement écarter un peu tout ça et utiliser une clé à filtre en forme de cloche pour le dévisser, car il y a vraiment très peu de place entre le bloc moteur et le ventilateur fixé sur le radiateur pour le passage d’une clé classique.

Pour info, le filtre est un Purflux LS 926, référence Renault 82 00 274 858, avec un by-pass taré à 2,5 bars, une hauteur de 63 mm et une surface de filtration de 14,4 dm².

- Pour mettre la main sur le filtre d’habitacle, souvent appelé filtre à pollens, j’ai suivi les indications fournie sur ce site du fabricant Bosch : "Filtre d'habitacle".

Sur la photo, on peut voir les deux vis papillon à enlever pour ôter le cache du logement de l’élément filtrant.

- Pour le filtre à gas-oil, vu que je ne le voyais pas, j’ai tout simplement suivi les tuyauteries en partant de la pompe haute pression et j’ai fini par "tomber" dessus.
Il est bien caché dans la partie avant du passage de roue droit, sous le vase d’expansion du circuit de refroidissement.
Pour le changer, il faut enlever la roue, la protection pare boue, qu’il faut dégrafer et là il est accessible. Il ne reste plus qu’à le soulever légèrement pour le décrocher de son support et à débrancher tous les raccords des tuyaux pour pouvoir le dégager entièrement.

Vue de dessous.

Je viens de mettre ma voiture sur une fosse afin de voir un peu à quoi ressemble le dessous et ce qu’on pouvait apercevoir comme mécanique sous cet angle.

Vu qu’on ne voit pas si souvent que ça un Scénic de cette façon là, j’ai fait un petit reportage photos (en fait j’ai "mitraillé" tout ce qu’il m’était possible de voir) afin d’en faire profiter tout le monde.
J’ai laissé volontairement les photos, en mode paysage, en haute résolution afin que l’on puisse bien voir les détails en cliquant dessus.

Avec le grand cache noir qui recouvre tout le dessous de la partie moteur/boîte on n’aperçoit pas grand-chose de la mécanique.
Par contre on voit très bien la protection thermique qui isole la caisse de la chaleur de la ligne d’échappement.

Les différentes couches de protection anticorrosion visibles sous la voiture prouvent le sérieux et les soins qui sont apportés sur le Scénic, afin de le protéger au maximum de la rouille.
Une fois la protection du moteur enlevée (fixée par 7 vis faciles à dévisser avec une clé à pipe de 10) on peut plus facilement se faire une idée de la disposition des organes composant le groupe de propulsion.

Sur la gauche on voit le carter inférieur moteur entièrement en aluminium prolongé sur la droite par la boîte de vitesse. Le berceau galvanisé apparait nettement aussi. Le tuyau noir au milieu sert, il me semble, à canaliser l’évacuation des condensats de la climatisation.

Sur cette photo on peut voir le turbocompresseur, au dessus de la fixation du début de la ligne d’échappement ainsi que les câbles servant à transmettre les mouvements du levier de vitesse jusqu’à la boite.



Je vais préparer d’autres articles, sur des équipements bien précis, avec le reste des photos prises aujourd’hui.

Une voiture pas du tout gourmande.

Pour faire le second plein de mon Scénic, j’ai attendu, ce coup ci, que le dernier pavé de la jauge s’allume.
Celui-ci s’éclaire en orange et clignote en permanence, de plus un signal sonore (pas vraiment agréable) retentit à chaque démarrage du moteur et l’affichage de l’ordinateur de bord se met automatiquement sur "autonomie".

Je suis arrivé à mettre 55,70 litres de gasoil pour 54,10 annoncés par l’ordinateur, ce qui donne pour les 1 029 km parcourus, une moyenne réelle de 5,4 l/100 au lieu des 5,2 prévus au tableau de bord.

Je trouve le petit "1.5 dCi" vraiment très sobre.
Je ne m’attendais pas à de telles moyennes en utilisation classique, c'est-à-dire pour les promenades du week-end et les trajets domicile / travail (50 km aller - retour par jour) surtout que, tout en gardant une conduite très douce, je commence à "tirer" un peu plus sur le moteur, depuis que les 1 500 km de rodage, préconisés par Renault, sont terminés.

Avec un gasoil à 0,97 € le litre, tarif auquel je l’ai eu aujourd’hui, cela donne un prix de revient en carburant pour 100 kilomètres de 5,24 €.
Je trouve que c’est assez économique au regard de la taille et du poids du véhicule.

Il me tarde de voir ce que va donner la consommation, cet été sur la route des vacances avec quatre personnes à bord et le coffre bien rempli, pour un trajet de 850 km dont environ 800 d’autoroute.
(Je ne manquerai pas de vous en faire part dans un article qui y sera consacré).

Des rangements à profusion.

Le Scénic est vraiment très bien conçu en ce qui concerne les espaces de rangement.
On y trouve, en plus de la classique boîte à gant et des bacs inférieurs de portière sur les quatre portes, des coffres et des tiroirs, d’une capacité assez généreuse, disséminés un peu partout dans l’habitacle.

- La boîte à gant éclairée, d’une capacité de 17 litres, est profonde et pratique à ouvrir.
Petit plus pour l’été, elle est rafraîchie lors de l’utilisation de la climatisation.

- Un petit rangement fermé est aussi à la disposition du chauffeur en bas à gauche du tableau de bord.
Pour info, en continuant de l’ouvrir après le cran d’arrêt, on accède à la boîte à fusible intérieure.

- Des tiroirs de rangement sont disposés sous les sièges conducteur et passager.
Leurs dimensions sont correctes (315 x 220 x 100 de hauteur) mais je ne les trouve pas vraiment pratique à utiliser lorsqu’on est assis. A réserver aux choses dont on n’a pas trop souvent besoin.

- Quatre coffres sont situés dans le plancher, deux à l’avant et deux aux places arrière.
Ceux de l’avant sont relativement petits (200 x 260 x 90) et, comme pour les tiroirs, ce n’est pas très pratique d’utilisation lorsqu’on est assis au volant, alors que ceux de l’arrière sont de dimensions généreuses (500 x 200 x 100) et font le plaisir des enfants.
Ils peuvent y mettre leurs petites affaires ou y dissimuler leurs trouvailles. Ça va devenir de véritables "coffres à trésors" pendant les vacances, à moins que ça finissent en "bacs à sable"...
Les tapis de sol, équipement d’origine dans la voiture, sont découpés afin de ne pas gêner l’accès des coffres.

- Un rangement fermé se situe aussi dans le coffre du côté chauffeur. C’est agréable de pouvoir y mettre les petites choses qui trainent toujours dans un coffre de voiture (boite d’ampoules, papier toilette …).

- Dans les portes avant on trouve aussi, en plus du bac inférieur de portière, un petit espace de rangement en soulevant une partie de l’accoudoir.

On peut le voir dans l’article "Quelques détails de la voiture.".

Boîte 6, un vrai plaisir.

Après un peu plus de 1 400 km parcourus au volant de mon Scénic, je trouve que la boite de vitesse est très bien adaptée à la motorisation.

Les rapports de boîte sont bien étagés, on ne ressent aucun trou entre les différents passages de vitesses.

La commande de boîte est précise et douce, sa grille assez rapprochée et la petite course du levier sont un régale.
L’emplacement du levier de vitesse, positionné en hauteur est aussi très appréciable, il est vraiment à portée de main. Le pommeau en cuir apporte une petite touche agréable à l’œil et surtout au toucher.

Tout cela incite à "jouer de la boîte" alors que le couple généreux du moteur, permet déjà de bonnes reprises, même à très bas régime, sans avoir besoin de rétrograder.

La présence d’une "6ème" ayant permis de raccourcir chacune des autres vitesses, on se retrouve avec la sensation et le plaisir d’avoir toujours, au bon moment, la bonne démultiplication adaptée à l’allure à laquelle on circule.
Les rapports intermédiaires plus courts favorisent bien les accélérations et les reprises alors que le dernier rapport permet d’abaisser le régime moteur et la consommation.
On peut ainsi passer la 6ème sans problème au environ de 85 km/h et rouler tranquillement en exploitant au maximum le couple du moteur.

J’ai relevé quelques vitesses en fonction du régime moteur et du rapport de boite engagé, cela donne pour 2 000 tr/mn environ 67 km/h en 4ème, 85 km/h en 5ème et 97 km/h en 6ème.
A 3 000 tr/mn en 6ème on est, en gros, à 147 km/h compteur.

(Je vais poursuivre ces relevés pour différents régimes moteur et ceci sur les six rapports afin de pouvoir publier ultérieurement un tableau récapitulatif).

Les pneumatiques.

En regardant quelle est la pression de gonflage des pneumatiques pour une utilisation sur autoroute, je viens de me rendre compte que c’est la même qu’en usage classique.
Pas besoin de sur gonfler avant de partir en vacances, un contrôle suffit.

Il faut donc mettre 2,4 bar à l’avant et 2,2 bar à l’arrière.

Bien penser par contre que la pression se fait à froid, sinon il faut tenir compte de l’augmentation de la pression de 0,2 à 0,3 bar et ne jamais dégonfler.


Le Scénic avec la motorisation dCi 105 ch., sans l’option "jantes alu", est équipé de pneumatiques de dimension 195/65 R 15 T. Voir l'article
"Caractéristiques techniques avec la motorisation 1.5 dCi 105.".

Voilà ce que signifie ce marquage d’identification que l’on retrouve sur tous les pneus :
195 → Largeur du pneumatique en mm (l)
65 → Rapport h/l
R → Structure radiale
15 → Diamètre intérieur exprimé en pouces
T → Indice de vitesse

Pour information, les correspondances des indices de vitesse sont les suivantes :
R = 170 km/h
S = 180 km/h
T = 190 km/h
U = 200 km/h
H = 210 km/h
VR = + de 210 km/h
V = 240 km/h
ZR = + de 240 km/h
W = 270 km/h
Y = 300 km/h
Dans les deux cas des symboles VR et ZR, ils sont inclus dans la désignation de la dimension. Exemple : 205/45 ZR 17

Pour info, respectez bien l'indice de vitesse de vos pneumatiques préconisés par le constructeur. Vous pouvez être contrôlé suite à un accident ou lors du passage du Contrôle Technique de votre véhicule.

Autre renseignement qui peut s’avérer utile si l’on est amené à enlever une roue, le couple de serrage des vis de fixation de roues, à l’aide d’une clé dynamométrique, est de 13 da N.m.

Vos visites.

Ce petit article ne concerne pas mon Scénic mais vous, les lecteurs qui êtes venus sur mon blog, soit volontairement car le sujet vous intéresse, soit par hasard car votre recherche "Google" a mal tourné …

Peu importe comment vous êtes arrivés jusqu’ici, mais je vous en remercie.

Surtout, n’hésitez pas à me faire part de vos remarques ou à commenter mes articles, votre avis m’intéresse et me sera utile pour améliorer le développement de mon blog.

Je n’aurais jamais pensé arriver à avoir 500 visiteurs aussi rapidement et comme le compteur de visiteurs en ligne "Who’s read" l’indique, vous venez de tous les horizons.

Cette capture d'écran faite hier, lors d’un pic de 19 visiteurs simultanés, le montre bien.

Modularité.

Le coffre n’est pas un des plus grands de sa catégorie mais il est très logeable et son seuil de chargement relativement bas le rend très pratique.



La multitude de possibilités de l’agrandir grâce à la présence des trois sièges arrière indépendants est très appréciable.




Chaque siège peut être avancé ou reculé à volonté sur des glissières d’une course de 13 cm, afin soit de privilégier l’habitabilité, soit le coffre, la profondeur de ce dernier passant alors de 83 à 96 cm.

Une légère avancée d’un des sièges permet aussi de pouvoir incliner le dossier, ceci afin d’améliorer encore le confort aux places arrières en adaptant la position au gabarit de chacun.



On peut aussi, toujours indépendamment l’un de l’autre, replier que les dossiers ou replier le dossier et l’assise des sièges afin de dégager une plus grande profondeur de chargement.

L’assise se rabat en soulevant la palette située à l’arrière du siège (dernière photo).

On peut aussi facilement libérer de la place en hauteur en enlevant la tablette arrière.




Si l’on désire obtenir un coffre le plus grand possible, il reste encore la possibilité d’enlever entièrement le nombre de sièges que l’on veut et la profondeur passe à ce moment là, à 1,65 mètre.
Cette manipulation est très facile, elle se fait en actionnant les petits leviers rouges de chaque côte du siège et en soulevant ce dernier, une fois que celui-ci est replié.

(Un article à venir, avec photos, sera entièrement consacré à ce sujet.)

Quelques voyants.

La photo ci-dessous montre les différents voyants qui s’allument lorsque l’on met le contact.
C’est juste après avoir appuyé sur le bouton "start", pendant la période de préchauffage, avant que le moteur démarre.



En partant de la gauche, on trouve les témoins suivants :

- Témoin d’alerte "SERVICE". Il s’allume conjointement à d’autres témoins et/ou messages de couleur orange.
- Témoin de contrôle du système antipollution. Il indique une défaillance du système de gestion électronique du moteur.
- Témoin antiblocage des roues (ABS). S’il s’allume en roulant il signale un problème sur l’ABS. Le système de freinage fonctionne alors comme sur un véhicule non équipé d’antiblocage.
- Témoin du limiteur et du régulateur de vitesse. S’allume lorsque l’un des deux équipements est utilisé.
- Indicateur mini de carburant. Le dernier pavé de la jauge s’allume en orange et clignote lorsqu’il ne reste environ que 8 litres.
- Témoin d’Airbag. S’il reste allumé, il signale une défaillance du système.
- Témoin de préchauffage. Il indique que les bougies de préchauffage sont en fonctionnement. Il s’éteint quand le préchauffage est fini et le moteur démarre.
- Témoin de serrage du frein à main et témoin d’incident sur le circuit de freinage. S’il s’allume au freinage, accompagné du voyant "STOP", c’est pour signaler une baisse du niveau de liquide de frein ou un incident sur le système de freinage.
- Témoin d’arrêt impératif "STOP". S’allume conjointement à d’autres témoins et/ou messages et est accompagné d’un signal sonore. S’arrêter le plus rapidement possible et couper le moteur.
- Témoin de charge de la batterie. S’il s’allume, accompagné du témoin "STOP" et d’un bip sonore, cela signifie qu’il y a une surcharge ou une décharge du circuit électrique.
- Témoin de pression d’huile. S’il s’allume en roulant, accompagné du voyant "STOP" et d’un signal sonore, cela indique un problème sur le circuit de lubrification du moteur. Vérifier en premier lieu le niveau d’huile.
- Témoin du système d’anti démarrage. Quelques secondes après l’arrêt du moteur, le voyant clignote et le véhicule est automatiquement protégé. Il s’allume fixe pendant le démarrage du moteur.

Premier plein.

Après avoir parcouru 924,5 kilomètres, je viens de faire le plein de carburant de mon Scénic, alors qu’il me reste encore un pavé allumé sur la jauge, avant d’arriver à celui de la réserve.

Cela va me permettre de vérifier l’exactitude des informations
fournies par l’ordinateur de bord.

Celui-ci m’indique que j’ai consommé 50 litres de gasoil et
me donne une moyenne de 5,4 l/100.

Il me resterait une autonomie de 127 km.

En remplissant au maximum le réservoir, je suis arrivé à y mettre 50,15 litres, ce qui me donne une moyenne réelle de 5,42 l/100.

Je dirais donc que, pour un premier test, les informations transmises par l’ordinateur de bord, me paraissent tout à fait fiables, ce qui peut se révéler assez intéressant lors de l’organisation d’un long trajet.

Voilà, c'est reparti pour quelques kilomètres.